Nous sommes dimanche Julio viens comme chaque dimanche le matin vers 8h-8h30  une habitude qu’on a pris.

On ne se voit que les week-ends et les vacances scolaires.

Je suis à mon bureau j’écris comme a mon habitude on parles de chose et autres et cela m’inspires.

On sortira tout à l’heure car c’est son anniversaire.

Enfin on sort après avoir gueler à mon père que je sort, avoir pris mon argent on part.

Main dans la main, le regard des autres nous importe peu on s’aime donc on se montre.

Sur le chemin on croise le mec avec qui j’ai couché y’as plus de trois semaines je n’ai plus trompé Julio depuis un mois environs, la réaction du mec ? Très mal il a voulut frapper Julio car ce mec été amoureux de moi, j’ai défendu Julio il été étonné quand le mec l’a attraper mais je crois qu’il à vite su, vu la tête défaite qu’il avais juste après, je m’en veux quand même et parfois j’aimerais pouvoir lui éviter cela mais la distance me pèse de trop et puis je suis assez affectif comme mec…

-Tu veux aller manger ou mon amour ?

-Rien à battre d’où on mange, tant que je mange.

-Tu m’en veux pour le mec de t’aleur ?

-Oui tu trouves ça bizarre ?

-Nan, c’est vrai désoler.

Je me sens bête fasse à lui, il supporte mon infidélité alors que moi je ne pourrais pas supporter.

On arrive au Mc do il passe devant moi, il va a une table qui se trouve en retrait, il me dit ce qu’il souhaite je vais passer la commande et reviens quinze minutes après.

En me voyant j’ai l’impression qu’il essuie quelques larmes, il a les yeux rougit mais par honte à la réponse qu’il pourrait me faire je préfère de faire comme si de rien n’étais.

-Voilà mon chéri ton menu golden, un menu de roi pour un prince en cette journée si spéciale.

-Bof un anniv rien de plus.

-Bas 21ans c’est pas rien tu sais !

-Bas sa me donne juste le droit de boire encore plus mon désespoir.

Dans sa phrase je sens les piques qu’il me lance je les entends, les comprend mais ne relève rien, l’habitude.

Je lui cache le mieux possible mais que voulez vous ? Les jaloux de n’être que des roues de secours y’en a partout et je tombe souvent dessus.

Julio est possessif et je ne crois pas qu’il tiendra longtemps sans m’avoir qu’a lui.

Je lui écris des poèmes, il est content car il sais que je n’en fais que pour lui seul, mais le seul hic c’est que sa ne suffirais jamais pour tout le mal que je lui fait. Je m’en veux je sais très bien que si je ne veux pas qu’il souffre il faudrait que j’arrête mes conneries et que je reste fidèle mais vous savez a 19ans on a envi de s’éclater de profiter et Julio le comprend en partis, si il ne me quitte pas c’est car il sais que je l’aime et qu’il est le seul que j’aime, mais malheureusement pas le seul qui passe sous mes draps.

Il est aussi le seul a pouvoir me prendre, je ne me donne à personne d’autre que lui, il en était flatté mais il n’y croit plus trop au fil du temps.

On va se promener après avoir mangé, faire les boutiques je lui offre ça, puis se soir je fais un dîner romantique suivi d’un classique de gay « broke back moutain » puis le reste se verra au fil du temps…

Ca fait deux ans et demi qu’on est ensemble lui et moi, deux ans que je le trompe, deux ans qui me le reproche, deux ans qu’il me demande d’arrêter.

Mais je n’y arrive pas, des que je vois un mec super canon je ne peux pas m’empêcher de le draguer, d’essayer de le séduire pour me retrouver dans le même lit que lui.

Je dois avouer que je l’aime quand même mon julio.

Je sais je ne lui démontre pas trop mais bon que voulez vous ?

C’est plus fort que moi, je ne peux pas faire mieux que ça, l’aimer, je ne peux pas lui rester fidèle je n’ai jamais pu, il le sais très bien et il l’accepte malgré tout.

La cause de ça ?

La distance.

Facile à dire mais bon, je ne peux pas me retenir les hormones sont en actions…

J’ai tenu au moin six mois sans le tromper une seule fois, mais je ne n’arrive à faire autrement !

On habite loin l’un de l’autre (quoi une heure et demi de train)

J’étais là une fois de plus avec lui dans « notre » chambre, c’étais l’après-midi, il venait de me donner du plaisir, donc maintenant, vu que je ne voulais pas qu’il me prenne en journée, il se branlait en observant mon torse nu près lui.

Ainsi il se faisait du plaisir en me regardant, je lui souris, il va bientôt éjaculer je le vois, je le sens à sa respiration, ses mouvements, moi j’écris, je suis pénard, j’observe mais ne l’aide que très peu voir pas.

Juste de voir mon corps le satisfait, moi ? Je me sers de ses expressions pour mes histoires.

Il le sais sa lui fait un peu plaisir je crois, que je parle de nous, de lui…

Mais bon allons, parlons de moi.

Je m’appel Nervin, j’écris pour le plaisir, mon inspiration ? C’est lui qui me la donne, ma muse, mon apollon…

Mon tout, mon Julio…

Je faisait la queue depuis maintenant 10 minutes, la bonne femme ne comprenait toujours pas ce que lui expliquer la femme a l’accueil.

- Madame vous n’habitez pas ici, vous payé donc 7€.

- Mais je loge chez ma fille qui elle habite ici

- Oui peut-être mais votre fille n’est pas présente donc le tarif est de 7€

10 minutes qu’elles discutaient du prix de l’entrée de la piscine, dix minutes que je parlais donc avec un beau mâle situer derrière moi dans la file, il était brun, la peau un peu hâler

A enfin la vielle dame était passé, le pire c’est qu’elle n’a payé que 4€ comme quoi à force de répéter les gens cèdent.

-Oh Mathéo avance la vielle peau est partit.

J’arrive devant la fille de l’accueil lui fit un sourire

-Une place à 4€ svp.

-Dites moi que vous avez un justificatif comme quoi vous êtes bien de Viroflay !

Je lui tend ma carte de cantine, oui même en vacance je la garde près de moi pour des cas comme celui là.

-4€ svp

Je lui tendis un billet de 5€

-Gardez la monnaie, lui dis-je en lui adressant un clin d’œil.

John, le garçon de la file passe tout aussi rapidement et me rejoint avant que j’entre dans une cabine pour me changer.

- Tu habites ici toi ??

- Bas oui pas toi ?

- Nan je suis de passage, je suis chez mon cousin.

- Ah bon je te laisse je vais me mettre en maillot de bain !

 En sortant de l’autre côté de vis John qui m’attendait.

- Sa ne te dérange pas que passe un peu de temps en ta compagnie ?

- Bas nan, au contraire sa me permettra de ne pas trop m’ennuyer.

On marchait vers le toboggan, on parlait des relations amoureuses, ou plutôt lui, moi je ne parlais pas de peur de lui avouer mon homosexualité, pas que j’ai peur du regard des autres, bien au contraire, mais je ne voulais pas le dégoûter car je voulais y croire jusqu’au bout, jusqu’au moment ou il dit :

- Mais bon mon ex je l’ai plaqué il m’énerver !

- Il ????

- Bas oui je suis bi ! Pourquoi je te dégoûte ??

- Nan je suis homo moi-même.

Quel ne fut pas sa surprise quand il eu apprit sa il hoqueta même de surprise.

- Ah en te regardant on ne le vois pas !

- C’est la même chose pour toi je n’ai pas su un seul instant, ni imaginer, que tu puisse être bi.

On arrivât au toboggan, il courut jusqu’en haut, et fit la descente en rigolant tel un enfant.

On y resta bien 2-3 h dans l’eau de la piscine, s’éclaboussant, se bousculant dans l’eau, tout simplement à s’amuser tel copain de longue date qui se retrouvaient.

Il était maintenant 16h de l’aprèm on avaient décider de sortir de piscine d’aller au Mc do puis de rentrer, séparer ou ensemble ? En rester le dernier point non éclairci qui me trottait dans la tête.

Il ne restait plus qu’une seule cabine de libre, on y courra comme des demeurés pour celui qui aurait le privilège d’y accéder en premier.

Résultat des courses ? Il fut plus rapide que moi.

- Hey je suis le plus rapide mais je suis gentil, je te permets de venir avec moi si  tu veux…

- Euh okay sa me permettra de pas attendre encore trop longtemps. Merci beaucoup.

On étaient collé dans la cabine l’un contre l’autre, je commençais à avoir chaud.

Je me tournas et tomba sur lui, nu, une érection montante, juste sous mon nez…

- Désoler mais de voir ton beau pti cul sa m’excite et pas qu’un peu.

- Je vois sa je vais t’aider.

 Son air d’incompréhension qui était largement visible sur son visage partit d’un coup lorsque je pris son pénis en bouche, il gémi à se  contact.

- Mathéo ce n’est pas que je n’aime pas mais on est dans une cabine de la piscine !

- Et alors c’est maintenant que nous avons envi.

Je continuai ce que j’avais commencé un peu plus tôt.

Il ne tardât pas à éjaculer en retenant un cri de soulagement, j’avalât je n’avais goûter, le goût me plaisais que peu, mais je ne put me retenir d’avaler. Je l’embrassa juste après, il ne me refusa pas se baiser ce qu’il me surprit.

- Alors je t’ai bien aidé ? Oui à moi de te rendre la pareille.

- Oh t’es pas obliger tu sais ?

- J’y tien !

- Alors prend moi stp !

- Mais je n’ai pas de capotes !

- Moi si dans mon sac, je lui en tendit une qu’il pris !

Il me fit me baissais lécha mon orifice qui lui était offert, y rentra un doigt, puis deux, il me faisait languir !

- S’il te plaît rentre en moi j’en peux plus !

Il le fit immédiatement et plaqua tout aussi vite une main sur ma bouche il s’attendait à m’entendre, sa main coupa mon gémissement d’apaisement.

Je n’avais que très peu mal, m’ayant bien préparer avant, ayant l’habitude aussi je gémis très vite bien que je dus me faire le plus discret possible.

En même temps je me masturbais.

Je jouis avant lui, mais ce ne fut qu’une question de seconde pour qu’il me suive.

Une fois fini il se retira de moi, finissant de s’habiller et de s’essuyer pour ensuite aller vers le Mc do.

On y mangea puis on alla chez moi, sur le chemin on parlait un peu de tout et n’importe quoi !

-Tu sais pour t’aleur, je n’avais jamais laisser qui que se soit m’embrasser après m’avoir piper !

-Mais  alors pourquoi avoir accepter ?

-Je crois que c’est parce que j’ai eu un coup de foudre envers toi dans la file, et que ce soit toi ne me dérange pas !

Après cela nous somme arriver chez moi et chacun de nous savais qu’on y aller pour une nuit de folie empli d’amour…