oneshot

Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 21:24
Une petite OS qui en décevra surement plus d'un...Mais désoler je n'ai pu faire mieu...
Je me remet petit a petit a ecrire



"Mais c'est déguelasse"
"Oh blondinou dis pas sa, tu n'as jamais essayer"
"Je m'en pleins pas moi!"
"Tu me gonfle espèce d'homo refoulé vas!"
"Moi homo? Hey c'est pas parce que je t'aime que je te le dis que je suis homo je t'aime comme un frère"
"Ouai bas tu verras sa seras plus qu'amicale un jour et tu me sauteras dessus"
Si jamais tu savais Christophe je crois que c'est déjà le cas... pensa Mathieu le blond!
Mathieu et Christophe sont les meilleurs amis du monde, inséparable depuis le collège!
Christophe est bisexuel, quoi que plus intéresser par les filles que par les hommes.
Mathieu hétéro pur, homo refoulé d'après ses ami(e)s.
Oui car Mathieu aime Christophe mais il ne sais pas a quel stade il place ses sentiments!
Christophe voulais couché avec Mathieu se soir, il est en manque, mais MAthieu refuse de lui céder ses fesses, déjà qu'il lui abandonne ses lèvres.

C'est le lendemain matin, nu comme un vers que Mathieu se réveille dans son lit, son "homme" comme il l'appelait sur son torse.
Qu'il est beau quand il dort. JE SUIS PAS HOMO MERDE faut que j'arrête avec mes pensées bizarre moi, je commence a me faire peur parfois.
Il le trouvai beau, aimer être dans ses bras, aimer l'embrasser, mais ceci n'arriver qu'avec Christophe! Mathieu n'étais donc pas homo car sinon il aimerait cela avec tous les hommes, mais non juste avec son "homme".
Il passait souvent des heures entières a le regarder dormir, ne s'en lassait pas, il connaisser son corps par coeur. Son corps? Oui plus d'une fois, il l'avait observé sous la douche, sous les couettes sans que Christophe ne le remarque.
C'est après une heure de complentation, que Mathieu se leva, défit l'étreinte des bras de Christophe, qui s'en allât sous la douche.
Fin prêt, habiller, parfumer (avec du scorpio un des parfum préféré de Christophe) qu'il prépara le petit déjeuner.
Entre temps c'est dans un lit froid de présence que se réveilla Christophe.
Oh il est déjà debout? Pff je vais me rendormir alors. Je me demande si un jour il m'aimera d'amour? J'aimerais tant.
C'est sur cette pensée que s'ouvrir la porte de ma chambre laissant y apparaître un jeune homme qui sentait bon avec un plateau dans les bras.
"Petit dej servi beauté"
"Wouahou  en quel honneur?"
"Je sais pas j'avais envi, sa ne te fais pas plaisir mon homme?"
"Si si bien sur que si...c'est tellement rare c'est tout!"
Il mangèrent leur petit déjeuner sur le lit une fois le déjeuner fini Mathieu sorti quelque chose d'en dessous du lit.
"Tien cadeau pour toi" il tendit un écrin de velours noir et un gros bouquet de fleur multicolore.
"Oh saligaud tu y a penser grrr je n'aime pas qu'on me fête mon anniversaire"
"Bas qui sais mon cadeau est peut être pourri tu sais? Aller ouvre tu fera des commentaires après, mais après seulement!"
Une gourmette en argent, une montre et un mot, c'est ce que contenait l'écrin.
Sur la gourmette il y avais marquer à l'intérieur "Mathieu et Christophe s'aiment à vie" et de l'autre juste "Christophe"
"Tu pourras porter mon amour fraternel partout où tu iras sans que personne ne le sache."
La montre était "simple" noir, bracelets en cuir, cadran à annologique. Un coeur était gravé derrière, seulement Christophe ne pourrait le voir car on ne le voit que si l'on regarde miticuleusement la plaque d'argent en arrière de la montre.
Les initiales de Christophe y étaient gravé, comme cela elle était bien a lui, rien qu'à lui.
"Merci du fond du coeur sa me touche blondinet" Il se leva alla embrasser Mathieu a pleine bouche.
Oui Mathieu aimer leur baisers, leurs contacts, avait souvent envie de son meilleur ami,  mais il n'était pas homosexuel oh non il ne l'était pas.
La lettre? Oh  elle fu très personnelle et ému Christophe qu'il en pleura.
"Se soir on se fais une soirée blondinet?"
"Toi et moi?"
"Oui rien que nous"
"D'accord"

Mathieu lui répété sans cesse qu'il l'aimait sur le mot,  que c'étais de l'amitié mais qu'il l'aimait.
Seulement de l'amitié? Mathieu n'en était plus aussi persuadé qu'au début.

Le soir venu, oui le soir...
L'après midi?
A quoi bon décrire une après midi qui ne fu qu'un résumer de: course au supermarché, matage d'émissions toutes plus nulles les unes que les autres, preparage de soirée DVD, attente du retour de l'anniversait!
Oui car a par l'attendre, attendre cette soirée Mathieu n'avais rien faire de plus. Pourquoi? Tout simplement en raison que Christophe fête tout simplement ses 20 ans le jour même.
Cette soirée est prévue depuis bien deux mois, Mathieu qui lui les a eu huit mois auparavant.
Lorsque Christophe rentra il n'était pas seul, un beau jeune mâle était a ses côté et la tête de se jeune même ne disait rien a Mathieu qui avait vu tous les copains, ex, amis de son meilleur ami.
"Qui est-ce?" lançât-il froidement?
"Un ami" répliqua alors le concerner.
"Je te parle toi?"
"Parle moi mieux si c'est le cas"
"Conard dégage d'ici"
"On m'as invité, je ne partirait que si mon hôte me jette d'ici!"
"Hey dimi c'est sa?" demanda Christophe
"Ouai exactement qui y'a t'il beau gosse?"
"Casse toi d'ici tu gène mon blondinet donc dégage sinon il risque de te tuer"
"Mais..."
"t'as entendu connard casse toi, personne ne l'approche a part moi, dégage sale con c'est mon homme pas le tien"
"Tu sort avec lui Christophe? Pourquoi m'avoir dis que tu était célibataire si tu es pris en fin de compte?"
"Car c'est le cas je suis célibataire"
"Nous ne somme pas ensemble connard, je ne suis pas un homo de merde"
"C'est moi le connard et tu ose insulter ton ami d'homo de merde sans ciller"
"Oui dégage"
"Oui ne t'inquiète pas je vais partir ta sale gueule, tes propos m'écoeurent."
Le dénommer  "Dimi" quitta l'appartement en claquant la porte.
"Enfin seul"
Christophe pleurait, silencieusement. Chaque crise de jalousie l'anéantissait, il voyait de l'amour plus qu'amicale en travers des crises de Mathieu et cela lui faisait mal.
Ils regardèrent un film, mangèrent du pop corn devant, burent de la bière.
A 23h50 Mathieu regarda Christophe!
"On dois parler"
"De quoi?"
"De plein de trucs mais en particulier de mes actes"
"Je ne comprend pas!"
"Je ne t'embrasserais plus car si je t'embrasse cela voudrais dire que je suis amoureux de toi"
"Mais...bas besoin d'amour pour cela, me prive pas de tes baisers stp"
"Si désoler"
Il regarda l'horloge elle inscrivait 23h58
Encore deux minutes et c'est bon...aller courage
"Et il y a un autre truc que je veux éclaircir"
"Quoi?"
"Je ne suis pas un homo, je ne serais jamais un homme comme cela"
"Oui je le sais que trop bien"
"Alors si tu le sais tu ne m'en voudras pas"
"De quoi?" demanda alors Christophe d'un coup paniqué.
Pour toute réponse Mathieu l'embrassa, le regarda dans les yeux.
"Je t'aime, mon amour pour toi est bien plus qu’amical depuis bientôt quelque mois, je ne suis pas homo, car je n'aime que ton contact, que tes baisers.
Seulement toi me fais me transporter vers le bonheur.
Je ne suis pas homo, mais je t'aime, je veux faire ma première fois avec toi, je ne veux pas le faire avec quelqu'un d'autre que toi, seulement toi.
Je ne veux être qu'à toi. Je veux t'aimer et être aimer que par toi."
Sous le cou de cette révélation Christophe l'embrassa, c'est une longue d'amour qui en suivi.
Oui Mathieu est amoureux, il n'est pas gay!

invité, je partiré que si mon hôte nti_bug_fck
Par nat'chou - Publié dans : oneshot
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Vendredi 19 octobre 5 19 /10 /Oct 22:03
Plutot un poeme qu'une one shot...mais bon

J'ai encore dans ma memoire,
Les images de ce soir,
Toi et moi dans le noirs,
L'un sur l'autre pas besoin d'y voir...
Tes mains sur mon corps,
S'aimer sans effort,
Un peu d'amour et de passion,
Qui  nous  on enpécher de  nous dire non.
Ma main sur ton penis,
Ma bouche qui le recouvre,
Ton coeur que tu m'ouvre
Comme j'aime que tu jouïsse.
Tes mains sur mes hanches,
Vois comme je me dehanche,
Pénétre moi,
Sois en moi,
Enfonce toi encore une fois,
Comme tu le faisais a chaque fois.
Je n'aime que toi,
Toi mon roi.
Fais preuve de romantisse,
Mais pas de fétichisme.
Enfonce ton pénis encore plus loin,
Fais moi autant de bien.
Plus retire toi un peu,
Que je te vois mieu.
Dans ton dos je te griffe,
Au sang parfois pour que tu puisse,
Encore plus t'enfoncer en moi,
Encore plus me satisfaire de toi.
Va moin vite, ralenti
C'est de sentiment d'abord que j'ai envie,
En manque de sex,
Rien n'est trop beau pour tes jolies fesses,
Je suis devenu pro du sex,
Garce à ta delicatesse.
Accélére la cadance,
Ceci est une jolie dance,
Le rythme ralenti,
Lorsque que j'en eprouve l'envie,
Le rythme accélére,
Lorsque que tu veux qu'on m'entende jusqu'à la mer...
Car ses souvenirs là sont réel,
Que de ma vie qui fu si belle,
Ils y ont laisser une trace indélibiles,
Que personne même les moins débiles,
Ne peuvent comprendre ni réaliser,
A quel point pour moi ils peuvent compter!
Ses souvenirs ,
Qui me font sourire.
Par nat'chou - Publié dans : oneshot
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Dimanche 9 septembre 7 09 /09 /Sep 22:04
Petites OS pas pu faire autre chose...c'est que je dois aller me coucher aller bonne nuit la compagnie

J'ai fais un beau rêve, un rêve si érotique, si sensuel...
Toi et moi chez toi, pas seuls, des amies en communs présent,
Tu étais avec moi dans la cuisine,
Nos amies?
Ils étaient occupés devant un film dans le salon.
Nous?
On allais chercher les boissons...
Oui on été amoureux, on été malheureux...
On été déjà plus ensemble, mais on s'aimer toujours...
Je t'avais suivi, voulant etre seul avec toi...
Tu lavais quelque verres pour les boissons,
Je t'avais suivi voulant t'avoir pour moi...
Je me suis mis derrière toi, t'es pris dans mes bras. Ce que j'aime sentir ta peau contre la mienne.
Je t'ai embrasser dans le cou, tu t'es laisser faire, je me suis mis devant toi, je voulais te faire un calin, mes main on glissé, tu t'en rapel?
Elles sont aller vers tes fesses, je les ais carresser...
Sous mes caresses, sur tout ton corps, je te sentais aimant mes caresses, fremissant de plaisir.
Puis je t'ai embrasser dans le cou, un frissons t'as parcouru...
Je t'ai senti te coller un peu plus a moi...
tu te donner, entiérement...
Puis tu t'es retirer a bredouiller quelques excuses...
Je t'ai dit que ce n'était pas grave et t'es repris dans mes bras...
Je te géner tu ne voulais pas me mettre de produit sur mes habits, tu mas dit d'attendre trentes secondes, tu t'es retourner ma coller a toi, rincer les mains dos a l'évier fermer le robinet pris possessions de mes lévres...
Nos pioux, bisous sont grandes conséquences sont devenu plus dévorant, nos langues on jouer, elles se sont emmellés, entrelacets...
Tu m'as embrasser dans le cou, tu me voulais, une bosse se faisais sentir dans le bas de ton ventre.
Je ne demander que sa etre tien...
T'apartenir encore un peu, n'etre rien qu'as toi...
Nous sommes aller dans ta chambre, toi allonger, moi de biais sur le lit juste un calin, rien de plus, nous ne pouvions ne faire qu'un comme tant de fois, comme on se le demander tout bas...
Toi ta tete contre mon torse je murmurais mon amour pour toi, tu t'es rélever m'as demander de le dire haut et fort, quel suplice, les larmes aux yeux je l'ai dit tel une messe basse, obligant a augmenter encore ma voix je te l'ai dit clairement tu mas dit merci tu as murmurer je t'ai fais avouer que toi aussi...
On s'aimais encore, mais tu nous bloquer la barage, tu nous refusai se bonheur.
Je ne sais pas pourquoi, on s'aimais, on se manquais, on voulais pas se perdre, mais tu ne voualis plus de moi a tes côtés...
Tu t'es allonger sur moi, m'obligeant par la même occasion a m'allongé, je me suis laisser dévorer par tes baisers, par tes mains si sensuelles...
Nous fesions qu'un pourtant il n'y avais pas de pénétration...
En t'embrassant dans le cou, je t'ai exiter au point de nous retour, y mettant mon ingredient spécial, le petit coup de langue, tu as commencer a te branler...
Tu me murmurer des "bébé" des "je t'aime" des "mon amour"...Dans les moments sexuels tu ne pouvais autrement faire que me donner ses surnoms, cet amour...
Tu m'as demander une fellation, chose que j'ai faite, n'oubliant pas de te demander de "garder "mon chewing-gum...
Sentir une nouvelles fois ta verge dressée dans ma bouche, te sentant vouloir accélérer la cadance...
J'y ai mis tout mon coeur, tout mon être.
Je l'ai fais, tu as poser les mains de chaque côté de ma tête es fait  bouger ma tete plus rapidement, te sentant pres de la jouissance j'ai arreter, pour te laisser finir, m'attaquant à tes mamelons...
Tu as jouis oui tu as eu un orgasme très long, j'ai repenser a cette fameuse nuit, celle du 26aout, les voisins avaient surement du nous entendre...

Cette nuit tu t'en rapel moi oui...
Je m'en rapel comme si c'était hier...
On avais inviter des amis a manger, toi et moi on été encore ensemble, des crepes un de mes plats favoris, surtout quand c'est toi qui me les faisais.
De toute la soirée je n'avais pas cesser de te chauffer,
Tu avais envie de moi, envie de me pocéder...
Nos baisser été passionée, amoureux, comme nous j'étais passionnée de toi tu l'étais aussi, et notre amour se senter car nos regards le traduisais...
cette nuit là fu la plus belle de toutes, on a jouis, on a hurler notre bonheur, notre plaisir.
Je m'en rapel j'avais demander a regarder un film, pour te faire encore languir, te faire exploser, près de toi je te caressai, tu aprecier voulais plus!

Aujourd'hui on avais du etre discret, ta maman dormais, nos amies été juste a cote...
J'ai recupérer le chewing-gum en t'embrassant, goutant ta langue, la "sucant" comme je t'avais sucer...
Voilà et maintenant c'est terminer, on es sorti comme deux amis.
Le plus dur? C'est que j'avais besoin de me sentir aimer et que c'est le seul moyen pour me le faire ressentir, ces moments là où je me sens privilégier...
Ces moments là ou je sais qu tu m'aime, nos ébats sexuels...
Je n'ai toujours pas compris pourquoi tu m'avais quitter...ni pourquoi tu ne voulais plus de moi...
Ton chewing-gum je ne l'ai toujours pas fini, cet épisode c'est passer il y a bien 8/9h je pense...
Sous mes caresses, sous mes baisers je t'ai fais fondre...A quand la prochaine fois? Mais prochaine fois qui sais, le plaisir pourra peut etre durer...
Par nat'chou - Publié dans : oneshot
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Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 01:15
Oula une drôle d'inspiration d'un coup...
Une petite (euh okay je déconne elle est pas petite) O.S Pour le plaisir de certaines (non non je met bien du  féminin peux de mec passe ici!)
Babe (joaquim,mon chéri enfin tout les surnoms que que veux oh)
j'ai tenu ma promesse je poste le chapitre et je me couche (avant 3h)
(2 minutes après l'avoir posté)
oh j'avais pas remarquer qu'elle était aussi longue 4/5 pages de word
ps: je l'ai fais directement ici (oui je c'est dangeureux je sais j'aurais pu tout perdre) donc désoler pour les fautes je suis un peu crevée...



 

"-Eh Junito sa te dirais d'aller chez moi se soir?
-Tu m'invites? 1ans qu'on est ensemble et tu m’invites enfin?
-Je voulais te connaître un minimum avant de penser a quoi que se sois de plus que de me balader main dans la main dehors, s'embrasser à tut tête...
-Mouai mais bon inviter ton copain chez toi même si tu l'aime pas sa fait rien!
Oui Junito lui en voulais, bientôt un an qu'il étaient ensemble pas une seul fois il n'avaient fait l'amour, pas un fois Ricardo lui avais dit l'aimé...
-Bon tu viens ou tu rentre seul?
-Je ne manquerais pas cette occasion là. Pour rien au monde.
Ils montèrent chez Ricardo.
...
-Putain c'est bien ranger chez toi!
-merci tu veux boire quelque chose?
-Euh oui je veux bien tu as quoi?
-Oula dit moi ce que tu veux je te l'apporte..."

Il se réveilla en sursaut...
Encore et toujours se maudit cauchemar qu'il le hantait depuis bientôt deux ans.
Deux ans que Junito était dans le coma, deux ans que Ricardo passé le plus de temps possible à ses côtés.
Chaque fois qu'il s’endormait il revoyait cette soirée...
Ca s'était passé il y a 2 ans environs, ils étaient chez lui.
Ricardo se haïssait intérieurement "pourquoi?" se demandait-il.

-Junito c'est moi si tu m'entend réveille toi mon amour, c'est dur sans toi la vie ici. Aller tu peux pas me faire sa à moi? Après cette soirée qu'on attendais tant...

"-Oh alors je voudrais bien un Malibu coca s'il te plait, j'en aurais bien besoin.
-D'accord je t'apporte sa tout de suite.
-Merci mon ange. Euh désoler je voulais dire Ricardo.
 Nan ce n’est pas grave.
Entre eux il n'y avais pas de mots doux, "pas d'amour pas de mots doux et le sexe encore moins" disais tout le temps Ricardo
Junito l'aimait mais chaque jour il souffrait un peu plus de se manque d'amour, de se manque de petits mots...
-Dit tu crois qu'un jour tu m'aimeras?
-Pose pas trop de conneries s'il te plait tu sais déjà bien que je n'aime qu'une seul personne et que je n'aimerais quelle à vie.
Oui Junito savait que trop bien que Ricardo n'aimait qu'une seule personne mais qui? Il n'avait jamais dit son prénom ni donner quelconque indice sur l'identité de cette personne"

-Je croyais pourtant avoir bien agi mais que c'est-il passé j'aimerais découvrir toute la vérité oh tu me manque, excuse moi j'aurais tu te le dire plus tôt,si seulement j'avais su.

On toqua à la porte.

-Bonjour Monsieur Rodrigue pouvez vous sortir s'il vous plait je dois changer ses pansements.
-Oui bien sur excuser moi.
Il sorti et tomba nez à nez avec la dernière personne qu'il aurait vu voir
-Espèce de connard c'est a cause de toi tout sa.
-C'est a cause de toi qu'il se taillader les veines.
-Si tu ne lui avait pas raconter des conneries il serait encore là et heureux pas sur un lit d'hôpital en train de croupir.
-Oh tu sais à mon avis il devait être déjà pas mal à bout pour réagir ainsi...

"-Aller trinquons à un nouveau départ, à cette soirée!
-Quel nouveau départ?
-Bas ne crois pas quoi que se soit hein, au fait que je t'ai invité ici c'est tout.
-Ah oui désoler
-Nan c'est pas grave, t'as fais quoi cette semaine?
Durant deux heures ils parlés, deux heures à boire, un seul verre d'alcool bien sur, après du café...
-Ouah ton café donne la pêche
-Et tu courage.
-Hein?
-Nan rien je suis fatiguer!
-Il est 2h tu veux que je rentre?
-Tu veux dormir ici? J'ai un lit de camp chez moi, tu prends mon lit et moi le lit de camps!
-Euh d'accord sa me tente bien."

-Tu savais qu'il t'aimé Ricardo  tu savais ce que tu ressentais pour lui mais tu ne lui avait rien dit, je penser pas que sa irait aussi loin, tu aurais du tout lui dire tu sais?
-Tu savais qu'il allait en souffrir, je sais que tu lui a parler que c'est pour sa qu'il était effondré!
-Tu savais que tu n'aurais pas du attendre aussi longtemps pour  lui dire que...
-...Monsieur vous pouvez y retournez.
-Merci Mlle
-Adieux tony.
-Nan  au revoir.
Ricardo rentra de nouveau dans la chambre.
-Mon amour il t'avait menti, oui j'aurais du te le dire, mais quoi qu'il ai dit sa ne valait pas cet acte...que t'a t'il dit?

"Chacun dans leur lit parlait de tout et de rien en particulier.
-Mais tu sais Junito tout n'es pas noir.
-Mais c'est pas rose n'on plus.
-A tes côté si ! Avait dit tout bas Ricardo
-Quoi?
-Tu m'a entendu?
-Pas correctement!
Ricardo s'approcha de lui et l'embrassa il y mit plus de passion  qu'il ne cru pouvoir en mettre, il y mis tout l'amour qu'il pouvait;
-Que signifie se baiser? Il n'était pas comme les autres ! Répond moi mon amour.
-Tu viens de comprendre toi même.
-Dit le moi de ta propre bouche..."

Même réveillé il revoyait cette soirée elle devait être parfaite mais elle fu la pire de toute, tout avait si bien commencer seulement si...

"Ils étaient nu sur le lit de Ricardo.
-Jamais sans amour tu disais hein? Pff

-Jamais je ne le ferais sans amour, c'est exact!
-Mais?
-Oui je t'aime
Il pris Junito dans ses bras l'embrassa, lui répétant sans cesse son amour.
-Merci mon amour merci mais pourquoi aujourd'hui? Pourquoi me l'avouer que maintenant?
-Parce que je n'avais pas le courage jusqu'à maintenant, daller plus loin que de simples caresses.
Il l'embrassa sur chaque joue, puis la mâchoire,  le lobe de l'oreille, le cou...
Il descendait lentement passant sur chaque zone hétérogène, le faisant languir, lui faisant plaisir.
Il descendit s'arrêta sur les mamelons durcit d'envie, fit des cercles autour les lécha, les mordillât...
de quoi faire exploser un mec de plaisir.
De sa bouche il effleurât la verge dressée de son amant, mais remonta, ce qui fit échapper un gémissement de plainte de la part de Junito.
-Hey soit patient un peu.
-J'attend sa depuis trop longtemps.
-Je sais c'est pourquoi je fais durer encore plus
Il lécha un de ses doigts rien que pour exciter Junito il le regarder comme un chien affamer de sexe, tel un prédateur puis d'un coup mis la verge qui n'en pouvais plus entièrement dans sa bouche.
Junito hurlât tellement il attendait ce contact, cet acte.
Il ne tardât pas a éjaculer tellement il avait aimer sa!
-Tu es sur que je suis ta première expérience masculine?
-Bas oui pourquoi sa ?
-Tu t'y prends comme un dieu.
-Merci mais tait toi et subit!
-Hum si je refuse?
-Oh tu seras puni.
-Et comment?
-Ainsi dit-il en enfonçant deux doigts préalablement humidifiés.
-Je...hum
Junito aimer sa il aimer que son amant prenne les dessus pour leur première fois il ne voulais pas le prendre de peur qu'il se brusque.
Sans qu'il ne s'en rende compte Ricardo venait de le pénétrer, il gémissait de douleur.
-Gnn sa fais mal, ta mis une capote au moins, hein?
-Chui pas con
Il commença alors des vas et viens pour que la douleur disparaisse, ce qui fut très rapide.
-On dirait que tu l'as déjà fait tellement....hum...tellement c'est bon.
-Nan tu es le premier.
Il le masturbait en même temps qu'il le pénétrer ce que produisais encore plus de sensations.
Ricardo pris appuis sur le lit et donna des coups de reins encore plus fort plus profonds.
-Hum...Junito je t'aime!
Hurlât-il tout en libérant son sperme.
Il se retirât enleva la capote pour la mettre a la poubelle a ce moment là quelqu'un entrât dans la chambre.
-Roh putain tu saoule Ricardo
-Hein qu'est ce qu'il fait ici bébé?
-Oh il t'appel bébé c'est mignon...
-Oh sois pas vulgaire Tony! Je l'héberge mon chéri, car mon frère vient de le plaquer!
-Ouai et même que ton mec est un meilleur coup que son frère.
-Quoi?
-L'écoute pas il ment je te jure. Casse toi de la Tony t'as la canapé tu sais bien!
-Ouai mais hier je dormais sur le lit de camps..."

-J'aurais du te dire qu'il était chez moi depuis une semaine je ne sais même pas pourquoi je n'ai pas oser te le dire!
Je n'aurais pas du te laisser à ce moment là!

"Tu me gonfle Tony je vais prendre une douche..."

-Ce fut la plus grosse erreur de ma vie

-Je ne saurais jamais pourquoi tu es parti les larmes aux yeux, ni pourquoi tu t'es couper les veines se soir là...
-Je peux te le dire moi...
-Tony?
-Je t'explique

"Yes enfin seul face à Junito, oui ça faisait longtemps que j'attendais cela."

-J'étais amoureux de toi, ton frère l'avait découvert il me haïssait, c'est pour sa qu'il m'avait viré de chez lui.

"-Junito je suis désoler qu'il ne t'ai rien avouer, je ne voulais pas que tu l'apprenne ainsi.
-Mais non tu ment il m'aime.
-Oui peut-être mais il a couché avec moi c'est pour sa qu'il est aussi douer
-Comment...comment tu sais sa?
-Je te l'ai dit on a couché et je lui est tout appris durant cette semaine.
-Nan il m'aime, il ne couche jamais sans sentiments"

-Je sentais qu'il allait craquer mais quand je ne savais pas réellement je voulais qu'il te quitte rien de plus, je t'aimais...
Maintenant qu'en j'y pense je sais que j'avais trop poussé...

"-Oh deux trois verres et la barrières des sentiments s’oublis vite tu sais?
-Oh non je l'aime il m'a fais sa à moi, moi qui ai attendu presque un ans pour l'entendre dire qu'il m'aime un ans en repoussant tous les autre parce que je l'aimé et lui dés le premier venu il..il...il baise!"

-Il était blême et très pâle je pensais que c'étais le choc vu qu'il pleurais, je m'étais dit "Il le quitte se soir et ne découvrira jamais la vérité et a moi le mec canon déprimer"
Quand tu ai sortit de la douche il à dit qu'il devait se doucher aussi il a pris quelque affaire la suite tu la connais...

-Il est parti sous la douche 5 minutes après j'avais remarquer que ma montre était dans la salle de bain, heureusement que j'avais remarquer cet oubli il serais mort sans sa...
Je suis arrivé à la salle de bain j'ai toqué il n'a pas répondu, en ouvrant j'ai vu qu'il étais sur le rebords que l'eau de la douché était rouge, il avais coupé ses veines mes été tomber sur le rebord de la baignoire avant d'y entré...
j'ai pas hésiter j'ai appeler les pompier!
-L'expérience que tu avais...c'était du à tout ce que je t'avais raconter et expliquer?
-Oui seulement sa!
-Je suis désolé.
-Je l'aime sans lui je ne peux plus rien faire j'en ai marre adieux!
-Oui maintenant je peux te dire adieux, il tournât les talons à ces mots.
Ricardo prit un scalpel et s'ouvrir les veines lorsque Tony quitta la pièce.

-Ricardo pourquoi?
Junito venait de se réveillé il avait tout entendu, en se réveillant il vit Ricardo s'ouvrir les veines et le sang gicler
-Junito...?
-Non mon amour me quitte pas...Non
Junito hurlât de toutes ses forces pour appeler de l'aide, les infirmières arrivèrent et virent Ricardo leur tendre la main...

Par nat'chou - Publié dans : oneshot
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Lundi 13 août 1 13 /08 /Août 11:08

Jonathan arrivait dans la ruelle sombre qui était toute proche de sa maison, chaque fois qu’il y passait il y voyait droguer, prostituées…

L’enfer existait en bas de chez lui.

Mais Jonathan n’était pas comme eux  il été un fil de riche bien fortuné, son père étant le plus grand informaticien de toute l’Angleterre, de l’Europe.

Jonathan lui ne se vanté pas de son géniteur, il le haïssais même plus que tout car cet homme qui se disais son père n’avait rien fait d’autre pour lui que de lui passer de l’argent, de Jonathan  refusait catégoriquement un père devrait être présent, à l’écoute de son enfant.

Jonathan ne voyait son père que par la télé, les medias en tut genre…

Il le haïssait mais personne ne le savait, Jonathan n’avait pas d’amis véritable, les seuls qui c’étaient intéresser à lui n’étaient intéresser que par pure intérêt financier, étant le seul hériter de Marc Becker, l’unique Marc Becker celui qui amasser plus de 20 milliards d’€ en banque.

Jonathan n’avait jamais accepter la « pension » que lui verser son père chaque mois sur un compte qui commençait à être trop remplis s’en jamais avoir été vider ne serait ce d’un cent.

Jonathan rentrait chez lui comme a son accoutumer, sortant de l’hôtel ou il été gérant, une affaire en or, à peine qu’il avait le bac en poche qu’il avait postulé dans un emplois dans un petit hôtel près de chez lui il fut pris comme aide ménager il avait alors 20ans.

Peux de temps après son affectation son patron mourut d’un ulcère du cerveau.

Il été devenu le nouveau patron à 25ans car lui seul savait que faire, mais il employa quelqu’un au poste de patron tout en demandant a devenir gérant.

En deux mois il été passer de aide ménager a patron puis gérant et son prédécesseur lui avait laisser une affaire qui montais en flèche depuis peu.

Il ne voulait pas qu’on le compare a son père il en avait horreur, être comparer à ce que l’on haït le plus…

 Il étais environs 23h il avait du faire le ménage, il été fatiguer, il s’aventura dans la ruelle.

Dans le noir il vit trois ombres s’avancés vers lui, il été habituer a ce genre de situation, mais à chaque fois les gars passaient a côté en le bousculant simplement, cette fois si il fut arrêter.

-Oh ! oh mais qui voilà, c’est notre ami Jonathan.

-Qui êtes vous laissez moi tranquille s’il vous plait.

-Et si cela ne nous plait pas nous faisons quoi ? Nous te laissons tranquille ?

-Je peux vous donnez autant d’argent que vous voulez mais s’il vous plait laisser moi tranquille.

-Oh voyez vous sa, le fil a papa serais d’accord de partager quelques millions avec nous, cet égoïste de Becker serait d’accord à …

-…Espèce de connard ne me confondaient pas avec mon putain de père.

-Ouh voyez moi ça, ce qu’il pourrait mordre.

-Je ne suis pas comme celui qui se dit mon père.

-Mais c’est pas toi qui disais y’as deux minutes même pas que c’était ton père ?? Je me trompe ?

-Que voulez vous de moi ?

Puis d’un coup…trou noir

Contre toute attente derrière lui deux autres hommes l’avaient frappé dans la nuque.

 

Il se réveilla attacher, plutôt suspendu par les mains dans une pièce blanche et ronde.

Putain je me suis fourré dans quoi encore et puis c’est quoi cette putain de pièce, que c’est il passer déjà ?

Une paroi bougea pour laisser entrer le mec d’hier soir.

-Vous en voulez à mon argent alors prenez tout.

-Tu te trompe je ne veux que ton malheur, je veux te faire vivre ce que moi et des centaines de personnes avons vécu, bien sur tu ne peux pas tout ressentir ce que nous avons ressentis donc on va te torturer physiquement pour te montrer ce que nous avons endurer mentalement. A ses mots il lui injecta un produit qui lui empêcha tout mouvement tout en étant conscient de tout et en ressentant toutes les souffrances qu’ils lui infligeront.

Quelqu’un l’allongea sur un table puis le déshabillât, ENTIEREMENT, attacha ensuite ses mains sur les chaînes où il été depuis le début.

-Ton cauchemar va enfin commencer.

Le « chef » entra une lame à la main il fit des entailles sur tout le ventre de Jonathan, puis d’un coups le détacha, le mis sur la table où il avait été déshabillait.

Il le mis a plat ventre sur la table en pénétra sans aucune préliminaire.

Jonathan avait envi de hurler de douleur, de pleurer, mais rien ne se passer, petit à petit la douleur fi place à l’envi, et au bien être.

Quand le chef remarqua que Jonathan n’avait plus les larmes aux yeux il arrêta et parti laissant Jonathan ainsi nu, saignant de ses plaies aux ventre et de son anus perforer.

Quand le « chef «  fut de retour il venais avec une aiguille de piqûre, et du désinfectant.

-La premier fois que je t’ai vu je t’ai aimer mais il en est ainsi je dois te faire souffrir.

Il attacha Jonathan sur le dos lui bloquant que les mains, il vient se mettre a son entrejambes puis lui mis du désinfectant sur les plaies Jonathan voulais hurler bien plus que d’habitude, il souffrait le martyre.

-Attend je te fais ta petite piqûre, pour te permettre de rebouger.

Une minute après Jonathan pouvait bouger, crier,  hurler, pleurer.

-Arrête alors s’il te plait !

-Non tu seras mort aujourd’hui ou sinon tu souffrira tellement que tu sera choquer a vie.

-Non s’il vous plait.

L’homme ne prit en compte les plaintes de celui qu’il disait aimer, il le pénétrât avec violence Jonathan hurler, pleurer, à s’en rompre les cordes vocales.

Son violeur, lui tirait les cheveux, lui griffait le corps.

De temps à autre, il lui faisait des entailles dans la peau à l’en faire saigner.

Il lui donnait de coups de rein assassins, lui portait des coups aux visages, défigurer, battu presque à mort…

Il lui léché les tétons, lui faisait des suçons…

Si seulement il s’en aurait satisfait de ça mais non il en voulait plus, Jonathan ressentait de nouveau du plaisir dans cet acte dépourvu pourtant de plaisir commun au premier abord.

Voyant cela son violeur commença a le masturber dans en continuant ses coup de reins, il accélère la cadence des reins mais pas de sa main, puis il faisait l’inverse, Jonathan était son jouet sexuel, et il en profiter bien.

Malgré le faite que Jonathan aimait il essayer de se défaire de l’emprise de son violeur.

Il hurler, demander de l’aide, personne ne l’entendait, perdu face à lui, ne pouvant se battre il hurlait tellement qu’il ne sut pas exactement quand il s’arrêta, quand sa voix l’abondonna.

 

Il se réveillât en sursaut.

Il venait de refaire se cauchemar…

Mais quel ne fut pas sa surprise ou terreur lorsqu’il vu qu’il se trouvais dans une chambre qu’il ne reconnaissait…La sienne ? Celle des invités chez lui ?

Depuis se fameux jours dont il ne raconta rien à personne, il avait accepter l’argent de son père, traînait toujours avec quatre gardes au minimum autour de lui.

Il été devenu ce qu’il avait le plus haït durant une 10aine d’années.

Il essayât de se souvenir de tout !

Il n’y avait pas refait ce cauchemar depuis au moin 4ans, mais le veille quelque chose c’été produit…

Une lettre, il avait reçu une lettre.

 

 « Ce que tu as vécu il y a 5 ans va se reproduire bientôt plus tôt que tu ne le pense, tout le monde n’est pas celui qui paraît être…

Comment trouve tu Sergio ton garde ? Simpa non tu ne trouves pas ?

Je ne t’oublie pas fait de même »

 

A se moment là Sergio était entré dans la pièce puis d’un coup…trou noir

Par nat'chou - Publié dans : oneshot
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