Texte Libre

Un homme avec un autre homme, qui s'aime c'est tout simplement MAGNIFIQUE                               

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L'amour n'a d'égale beauté!
Que se soit deux femmes, deux hommes, ou un homme et une femme qui s'aiment, L'amour reste le plus beau des sentiments.
Ne soyez pas jaloux du bonheur et du bien être des autres, mais contribuez y pour pouvoir l'être aussi.
 

Les homophobes ne sont pas les bienvenus!
Moi je suis une petite perverse!
Pourquoi petite?
Parce-que je n'ai pas encore asser d'experience pour être qualifiée de grande!

Vendredi 17 août 5 17 /08 /Août 23:56

-Tu veux bien aller chercher le dvd s’il te plaît mon amour ?

-Oui mais c’est lequel ?

-Oh ne t’inquiète pas tout est déjà payer et emballer, il faut juste aller le retirer, tu y vas et tu demande Miriam, une amie à moi avec qui j’ai tout préparer.

Il descendit, je commençai alors à m’occuper de la cuisine. Puis y’as eu un bruit a la porte je dut donc y aller.

-Seb qu’es que tu fais là ?

-T’es pas heureux de me voir mon choux ?

-dégages ok je t’ai dis je suis avec mon mec, je l’aime alors ne péte pas les couilles et barre toi !

-Oh nan je te veux et je t’aurais !

-Va te faire foutre !

A ce moment là je vis sa tête partir sur la gauche, puis je vis le poing, puis le corps de celui qui venait de lui en mettre une c’étais Yvain un voisin a moi.

-Salut Yvain.

-Alors sa va ma poule ?

-Bas ouai comme d’hab ! Oula jolie droite fait gaffe à son poing gauche, il à un coup de poing américain.

-Oh cimer mon pote sa aurais pu me faire mal.

-De rien

Quand il eu fini de taper Seb il se releva.

-Bon connard tu arrête d’emmerder mon pote je te revois ici, si Nervin ma pas parler de ta visiter je te refais le portrait, capich ?

-Euh oui oui désoler.

Il partit en courant le pauvre.

-Bon mon pote ma femme m’attend je te laisse mais bon sérieux si y’as un problème n’hésite pas okay ? Ou même juste pour papoter !

-Oui, eh sa fais a peu près un mois que je l’ai pas trompé !

-Sérieux sa fais plaisir d’entendre sa, il dois être ravi.

-Je lui ai pas dit bon je te laisse la cocotte siffle et il dois bientôt revenir je me demande même ce qu’il fait là mais bon il dois papoter !! Aller a plus

-ouai à la prochaine mon pote.

Je rentre dans l’appart, c’est vrai que je m’inquiète un peu qu’il sois pas de retour, bon tant pis. Je retire les patates de l’eau, oui les patate dites ainsi sa fais pas romantiques… Mais des patates chaudes, avec du jambon de pays, aux chandelles, avec au dessert un crumble  fait maison…puis une glace vanille servit froide mais pas glacé, juste un peu fondante j’ai pensé a tout.

Julio rentre deux minutes après moi et saute dans mes bras. Je ne sais pas pourquoi mais je pense qu’il a assister depuis tout à l’heure à la scène contre Seb, puis la baston, puis ma révélation…car à la façon dont laquelle il m’a enlacer on pouvais y sentir un grand plaisir et immense bonheur

Par nat'chou - Publié dans : mon tout
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Vendredi 17 août 5 17 /08 /Août 23:55

On sort donc du Mc do pour aller dans les boutiques du style Celio, Levis, h&m…

On marche lorsqu’un magasin lui plait il s’arrête et on y rentre ensuite.

On passe devant un magasin de fringue assez fashion « Gédénim » on y rentre.

Y’as des slims, des jean, des t-shirts, polos de marque, tout simplement des habits qu’aime porter Julio.

On en ressort charger de deux poches il avais désirer deux jean et une paire de converse de collection.

On continuant on est tombé sur une boutique « Heard Hardi » la plus fashion d’après lui. On s’y aventure tout en sachant que je vais dépenser à peu près 200€ car ici tout est chère.

On n’y achètera en fin de compte que deux pulls a 130€ chacun.

 -Alors sa te plaît ?

-Oui merci mon amour on ne m’avait pas autant gâté depuis un bout de temps. T’as du te ruiner…

-Nan j’avais commencer à bosser y’as deux trois mois pour justement pouvoir te faire plaisir !

-Merci sa me touche réellement.

-Bon on va faire quelques course pour mangé se soir et puis on rentre il est déjà 17h30, le temps de course et de rentrer il sera sûrement 18h30 donc on ira chercher le dvd dans la foulé, et je préparerais la bouffe le temps que tu réessaye tes fringues.

-Sa ma vas ! Tu nous prépares quoi de beau ?

-Surprise surprise.

-Je verrais bien dans le magasin !

-Ah non toi tu vas devoir prendre les boissons à l’étage au dessus.

- Rohh ce n’est pas juste.

-Soit tu râle et on bois rien se soir sois t’y va et tu me boudera 5minutes ! Alors ??

-Okii j’irais chercher à boire.

On alla dans le magasin alimentaire le plus proche de nous. En haut il y avait les boissons, en bas les aliments. Il fallais donc que je me dépêches d’acheter mes aliments pour ensuite le rejoindre et payé les boissons.

Chose faite j’ai tout acheter, rien ne manque, j’ai même acheter des aliments dont je n’aurais pas besoin normalement.

Je monte vite avec mon sac de course blanc, qu’on ne puisse pas voir ce que j’ai acheté.

Arriver je regarde les caisses minces, je le vois pas j’espère qu’il n’as pas acheter les boissons lui-même. Puis mon portable vibre, c’est lui, il m’appel.

-Oui ?

-…

-Ah euh oui je sais pas ce que tu veux !

-…

-Bon bas prend ce que tu veux je payerais.

-…

-Pas question c’est moi qui paye.

-…

-Tu ne me contrediras  pas là.

- …

-Où je suis ?? Bas si tu te retournes je pense que tu le sauras.

Durant l’appel je m’étais dirigé vers les boissons, vu qu’il me posé des questions sur l’alcool, je me suis dirigé au rayon alcool et quand je l’ai vu je me suis mis derrière lui. Il était surprit il pensait peut-être que j’étais encore en bas, mon sac avait du scotch rouge pour enfermer les aliments interne pour être sur que j’avais bien tout acheter que j’ai rien volé, il fu dessus de voir le sac d’un blanc opaque, il fis ses petits yeux de chien battus.

-Tu as acheter quoi mon amour ?

-Secret secret.

-Oh…

-allais prend ce que tu veux, on va au caisse pour payer les boissons, puis on rentre.

Par nat'chou - Publié dans : mon tout
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Vendredi 17 août 5 17 /08 /Août 23:53

Esteban revient 5 minutes plus tard avec l’eau qu’avait demandée M.Miller.

J’espère que il ne vas pas me demander de rester trop longtemps avec lui aussinon le patron va m’engueler.

-(Voilà monsieur votre eau)

-(Merci bien bas assis toi y’a de la place)

 -(Merci)

-(Bas a ce que je vois tu connais les rudiment de la langue du moin un minimum parce que y’as rien de pire que de travailler dans la restauration, c’est moi qui te le dit)

-(Euh merci mais je n’ai pas tout compris)

Miller éclata de rire ce qui lui attira toute l’attention de la salle et des messes basses.

-(Excusez moi tout le monde je vous permet de reprendre votre dîner)

Esteban fut surprit de l’audace de se M.Miller .

-(Oh excuser moi je n’ai pas commencer par le commencement)

-(Euh…)

-(Je m’appelle Alexandre et toi quel est ton nom ?)

-(Esteban)

-(Okay et tu habite loin d’ici ?)

-(Non l’hôtel me loge à l’immeuble en face)

-(Oh je vois, moi je suis richissime donc je séjourne dans l’hôtel durant deux semaines)

-(Vous êtes connus ? Du moin pour l’argent sa se vois que vous en avez rien que votre beauté montre que vous prenez très soin de vous)

-(Si je suis connu ?? bien sur tu ne me connais pas de nom ?)

-(Non je suis français…)

-Ah tu te débrouilles en anglais quand même

 Esteban ouvrir grand ses yeux, Alexandre Miller avec qui il essayer de discuter anglais depuis 15min parlais parfaitement le français.

-Vous parlez aussi français ?

-Tu peux me dire tu maintenant que tu sais mon prénom.

-Euh désoler j’ai pas l’habitude de tutoyer les clients.

-Considère moi comme une connaissance plutôt qu’un client.

-Oui je vais essayer.

-Tu as une copine ?

- Non je ne suis pas attiré par les filles…

-Ah tu es sûrement gay alors ! Je me trompe ?

-Non du tout.

-Et a ce que je vois tu t’assume pas mal, j’ai horreur des gens qui ne s’assume pas, ni eux, ni leur choix !

-Oui je comprend la plus part de mes ex ne s’assumaient pas donc je ne pouvais rester longtemps avec eux, me caché étais embarrassant et pas trop de mon style.

Pourquoi caché ses opinons ? Nous sommes pourtant dans une démocratie malgré la reine et nous sommes libre de nos choix peu de persécution homosexuels se sont vus ou remarquer je trouve ça complètement abusé se caché alors qu’on aime…

Désoler je me suis un peu emporter

-Je te comprend t’inquiète pas ton avis m’as beaucoup intéresser et pas du tout ennuyer, j’ai vécu y’as un an avec un certain Ricardo une histoire caché c’était durant des vacances et cela m’avais déplu car moi je ne voulais pas me cacher mais lui oui et pour être honnête avec toi les gens on toujours eu un peu peur du regards des autres même moi qui suis assez extravertis.

-Ah je vois…Des vacances où ?

-Sur une île exotique, oh je suis désoler je dois partir au plaisir de te revoir Esteban kiss you.

-Oui à bientôt…j’espère.

Par nat'chou - Publié dans : différence de classe
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Lundi 13 août 1 13 /08 /Août 11:14

8h le réveil sonne, déjà l’heure de se préparer,  d’ici deux heure il serra en train de bosser, son patron sur le dos lui expliquant ce qu’il ne comprendra pas !

Petit train train habituel depuis une semaine.

8h ouvrir les yeux.

8h 30 se levé et aller dans la cuisine.

9h finir de déjeuner et prendre sa douche.

9h15 se raser.

9h30 s’habiller puis partir.

Esteban commençais à avoir se petit train train là et il se disais qu’avec le temps sa ne changerais quasiment pas.

Il descend de son immeuble traverse la rue puis entra dans le resto.

A l’intérieur tous le monde été déjà activer a leur occupation respective.

Son patron arriva vers lui :

-(Bonjour il faudrait que tu te dépêches s’il te plais un client important vas arriver)

-(Oui monsieur je comprend je me dépêche)

A grand pas il s’en alla dans l’arrière du resto près des casiers personnels.

Chaque employer en avait un, les plus jeunes recrus avaient leurs casiers éloigner de la porte, car ainsi les plus anciens avaient des «privilèges ».

Une fois l’habit enfiler il rejoignit son patron dans l’arrière salle du restaurant, son patron été en plein briefing.

-(les gars je veux que ce soit irréprochable, son portefeuille est très important pour notre renommé et que se soit bien compris aucun défaut)

-Oui monsieur

-Okay allez y les gars.

Esteban était chargé de demander quelle eau les clients désiré.

Après quelques tables son patron l’interpella.

-(Eh Esteban je voudrais que tu aille voir M.Miller à la table centrale pour savoir ce qu’il désire)

-(Oh bas d’accord monsieur)

Mais c’est qui ce Miller pour qu’il y tien autant le patron ? C’est lui là tout seul ??

Nan je dois halluciné il est trop canon ce mec.

Esteban s’approcha doucement de celui qui maintenant allé hanter ses pensés.

-(Premièrement je voudriez que vous m’excusiez de mon mauvais anglais puis je dois du vous demandez ce que vous désiré)

Cette phrase Esteban l’avait apprise par cœur une des rare qu’il pouvait sortir d’une traite.

-(Euh oui bien sur mais dite moi votre anglais na pas l’air nul du tout)

-(Oh euh c’était juste une phrase par cœur)

-(Comment sa ?)

-(Bas voyez vous je suis en Angleterre depuis peu et je ne maîtrise pas l’anglais, mais s’il vous plait dite moi ce que vous voulez je vois mon patron qui s’inquiété a me voir discuter avec vous)

-(Oh désoler de l’eau de source sans glaçons s’il te plait mais je voudrais que tu me l’apporte)

A se moment là le patron arriva.

-(Un problème M.Miller)?

-(Oh non aucun je voulais juste que se jeune homme m’apporte lui-même mon eau de source

et j’aimerais qu’il me tienne compagnie)

-(Euh oui bien sur tout ce que vous voulez)


Désoler c'est un peu court mais je profite aussi de mes vacs bisous a tous!!

Par nat'chou - Publié dans : différence de classe
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Lundi 13 août 1 13 /08 /Août 11:08

Jonathan arrivait dans la ruelle sombre qui était toute proche de sa maison, chaque fois qu’il y passait il y voyait droguer, prostituées…

L’enfer existait en bas de chez lui.

Mais Jonathan n’était pas comme eux  il été un fil de riche bien fortuné, son père étant le plus grand informaticien de toute l’Angleterre, de l’Europe.

Jonathan lui ne se vanté pas de son géniteur, il le haïssais même plus que tout car cet homme qui se disais son père n’avait rien fait d’autre pour lui que de lui passer de l’argent, de Jonathan  refusait catégoriquement un père devrait être présent, à l’écoute de son enfant.

Jonathan ne voyait son père que par la télé, les medias en tut genre…

Il le haïssait mais personne ne le savait, Jonathan n’avait pas d’amis véritable, les seuls qui c’étaient intéresser à lui n’étaient intéresser que par pure intérêt financier, étant le seul hériter de Marc Becker, l’unique Marc Becker celui qui amasser plus de 20 milliards d’€ en banque.

Jonathan n’avait jamais accepter la « pension » que lui verser son père chaque mois sur un compte qui commençait à être trop remplis s’en jamais avoir été vider ne serait ce d’un cent.

Jonathan rentrait chez lui comme a son accoutumer, sortant de l’hôtel ou il été gérant, une affaire en or, à peine qu’il avait le bac en poche qu’il avait postulé dans un emplois dans un petit hôtel près de chez lui il fut pris comme aide ménager il avait alors 20ans.

Peux de temps après son affectation son patron mourut d’un ulcère du cerveau.

Il été devenu le nouveau patron à 25ans car lui seul savait que faire, mais il employa quelqu’un au poste de patron tout en demandant a devenir gérant.

En deux mois il été passer de aide ménager a patron puis gérant et son prédécesseur lui avait laisser une affaire qui montais en flèche depuis peu.

Il ne voulait pas qu’on le compare a son père il en avait horreur, être comparer à ce que l’on haït le plus…

 Il étais environs 23h il avait du faire le ménage, il été fatiguer, il s’aventura dans la ruelle.

Dans le noir il vit trois ombres s’avancés vers lui, il été habituer a ce genre de situation, mais à chaque fois les gars passaient a côté en le bousculant simplement, cette fois si il fut arrêter.

-Oh ! oh mais qui voilà, c’est notre ami Jonathan.

-Qui êtes vous laissez moi tranquille s’il vous plait.

-Et si cela ne nous plait pas nous faisons quoi ? Nous te laissons tranquille ?

-Je peux vous donnez autant d’argent que vous voulez mais s’il vous plait laisser moi tranquille.

-Oh voyez vous sa, le fil a papa serais d’accord de partager quelques millions avec nous, cet égoïste de Becker serait d’accord à …

-…Espèce de connard ne me confondaient pas avec mon putain de père.

-Ouh voyez moi ça, ce qu’il pourrait mordre.

-Je ne suis pas comme celui qui se dit mon père.

-Mais c’est pas toi qui disais y’as deux minutes même pas que c’était ton père ?? Je me trompe ?

-Que voulez vous de moi ?

Puis d’un coup…trou noir

Contre toute attente derrière lui deux autres hommes l’avaient frappé dans la nuque.

 

Il se réveilla attacher, plutôt suspendu par les mains dans une pièce blanche et ronde.

Putain je me suis fourré dans quoi encore et puis c’est quoi cette putain de pièce, que c’est il passer déjà ?

Une paroi bougea pour laisser entrer le mec d’hier soir.

-Vous en voulez à mon argent alors prenez tout.

-Tu te trompe je ne veux que ton malheur, je veux te faire vivre ce que moi et des centaines de personnes avons vécu, bien sur tu ne peux pas tout ressentir ce que nous avons ressentis donc on va te torturer physiquement pour te montrer ce que nous avons endurer mentalement. A ses mots il lui injecta un produit qui lui empêcha tout mouvement tout en étant conscient de tout et en ressentant toutes les souffrances qu’ils lui infligeront.

Quelqu’un l’allongea sur un table puis le déshabillât, ENTIEREMENT, attacha ensuite ses mains sur les chaînes où il été depuis le début.

-Ton cauchemar va enfin commencer.

Le « chef » entra une lame à la main il fit des entailles sur tout le ventre de Jonathan, puis d’un coups le détacha, le mis sur la table où il avait été déshabillait.

Il le mis a plat ventre sur la table en pénétra sans aucune préliminaire.

Jonathan avait envi de hurler de douleur, de pleurer, mais rien ne se passer, petit à petit la douleur fi place à l’envi, et au bien être.

Quand le chef remarqua que Jonathan n’avait plus les larmes aux yeux il arrêta et parti laissant Jonathan ainsi nu, saignant de ses plaies aux ventre et de son anus perforer.

Quand le « chef «  fut de retour il venais avec une aiguille de piqûre, et du désinfectant.

-La premier fois que je t’ai vu je t’ai aimer mais il en est ainsi je dois te faire souffrir.

Il attacha Jonathan sur le dos lui bloquant que les mains, il vient se mettre a son entrejambes puis lui mis du désinfectant sur les plaies Jonathan voulais hurler bien plus que d’habitude, il souffrait le martyre.

-Attend je te fais ta petite piqûre, pour te permettre de rebouger.

Une minute après Jonathan pouvait bouger, crier,  hurler, pleurer.

-Arrête alors s’il te plait !

-Non tu seras mort aujourd’hui ou sinon tu souffrira tellement que tu sera choquer a vie.

-Non s’il vous plait.

L’homme ne prit en compte les plaintes de celui qu’il disait aimer, il le pénétrât avec violence Jonathan hurler, pleurer, à s’en rompre les cordes vocales.

Son violeur, lui tirait les cheveux, lui griffait le corps.

De temps à autre, il lui faisait des entailles dans la peau à l’en faire saigner.

Il lui donnait de coups de rein assassins, lui portait des coups aux visages, défigurer, battu presque à mort…

Il lui léché les tétons, lui faisait des suçons…

Si seulement il s’en aurait satisfait de ça mais non il en voulait plus, Jonathan ressentait de nouveau du plaisir dans cet acte dépourvu pourtant de plaisir commun au premier abord.

Voyant cela son violeur commença a le masturber dans en continuant ses coup de reins, il accélère la cadence des reins mais pas de sa main, puis il faisait l’inverse, Jonathan était son jouet sexuel, et il en profiter bien.

Malgré le faite que Jonathan aimait il essayer de se défaire de l’emprise de son violeur.

Il hurler, demander de l’aide, personne ne l’entendait, perdu face à lui, ne pouvant se battre il hurlait tellement qu’il ne sut pas exactement quand il s’arrêta, quand sa voix l’abondonna.

 

Il se réveillât en sursaut.

Il venait de refaire se cauchemar…

Mais quel ne fut pas sa surprise ou terreur lorsqu’il vu qu’il se trouvais dans une chambre qu’il ne reconnaissait…La sienne ? Celle des invités chez lui ?

Depuis se fameux jours dont il ne raconta rien à personne, il avait accepter l’argent de son père, traînait toujours avec quatre gardes au minimum autour de lui.

Il été devenu ce qu’il avait le plus haït durant une 10aine d’années.

Il essayât de se souvenir de tout !

Il n’y avait pas refait ce cauchemar depuis au moin 4ans, mais le veille quelque chose c’été produit…

Une lettre, il avait reçu une lettre.

 

 « Ce que tu as vécu il y a 5 ans va se reproduire bientôt plus tôt que tu ne le pense, tout le monde n’est pas celui qui paraît être…

Comment trouve tu Sergio ton garde ? Simpa non tu ne trouves pas ?

Je ne t’oublie pas fait de même »

 

A se moment là Sergio était entré dans la pièce puis d’un coup…trou noir

Par nat'chou - Publié dans : oneshot
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