Le blog de nat'chou

Je suis crevée j'ai pas dormie de la nuit a cause des corvée -_-' je suis fatiguer j'éspere que se lemon vous plairas moi je crois que je vais ranger encore un peu puis quand ma chambre seras acceptable je m'allongerais un peu.



Je le pris dans mes bras, comme une « princesse » lors du mariage…Tout en l’emmenant vers notre chambre.

Je le pose délicatement sur le lit, je m’allonge à ses côtés. Nos baisers sont, doux, sucré, plein de tendresse.

Ses baisers la me manquais, tant de tendresse et d’amour dans des baisers…

Il frémit de mes baisers, je sens son corps se courbé sous moi, je sens un vent de frisson dans tout mon corps, ça faisait bien longtemps qu’on ne le faisais sans réel amour et passion, on le faisais par envie simplement, sans démonstration par quoi que se soit d’amour. Je crois que lui aussi pense sa. Je commence à le caresser le torse du bout des doigts sous son polo, profiter de chaque instant, de chaque parcelle de peau.

Il passe sa main derrière ma nuque demande d’approfondirent nos baisers qui jusqu’à là  n’étais que des « bisous », à sa demande je lèche ses lèvres de façon provocante, il m’invite a jouer avec la sienne.

Nos langues dansent ensembles, elle je joignent lors de se baiser des plus romantique.

Ma main toujours sous son polo en sort je lui en lève le polo, ne lâchant ses lèvres qu’une brève minute pour lui reprendre avidement.

Il me fait basculer je me trouve sous lui, je du lâcher son torse, il déboutonne petit a petit les boutons de ma chemise, tendit que moi je caresse son postérieur à travers le jean, mon érection est déjà présente, lui aussi bande, rien que des caresses, des baisers et nous voilà dans cet état, je sens que la nuit vas être longue…

Il a enfin réussi à m’enlever ma chemise, nos torse se touche, sentir sa peau brûlante me rend impatient, mais aujourd’hui je dois prendre mon temps tout doit être magique…

-Juan je t’aime.

Il rougit, c’est rare que je lui dise que je l’aime alors qu’on va faire l’amour je lui dit avant les préliminaires après l’acte mais pendant c’est rare !

-Je t’aime aussi.

-Je t’aime plus !

-Non moi.

Je saute sur lui, le chatouille, il rit, il se tord de rire sous mes doigts. J’aime son rire si cristallin, si doux, si enfantin…

-J’abandonne tu a gagner stop stp Nervin.

-Je suis le plus fort.

-Quel modeste !

-Il faut bien se lancer des fleurs de temps en temps.

Il s’en un peu relever, il se tien sur les coudes je le regarde sans rien dire, qu’il est beau je l’aime tant.

-Qui y’a-t-il mon amour ?

-Rien je t’admire seulement.

J’approche alors mon visage près du sien avec mes lèvres j’effleure les siennes, mais ne les embrasses pas, je fais durer le plaisir, je fais monter le degrés de chaleur, puis je l’embrasse, il donne des accoues avec sa tête comme quoi je l’ai exciter, qu’il à du mal à tenir le coup.

Je m’allonge de nouveau au dessus de lui, je l’embrasse avec tout l’amour que je peux lui transmettre.

Ses mains s’aventure vers mon pantalon, il le déboutonne, un bouton après l’autre, il prend son temps.

Cette nuit se sera magique, on le voit dans nos regards, dans nos gestes.

Il a fini de déboutonner mon pantalon, il me fait glisser vers le côté, il « domine » il fait glisser mon pantalon vers le bas, tout doucement, comme si il ne fallait pas briser se moment, en le baissant il frôlât de ses mains mon pénis déjà endurcit, il petit sourire moqueur sur le visage.

Je suis en boxer et à l’étroit dans se boxer lui aussi a l’air à l’étroit dans son jean.

Une musique se lance, une musique sexy…

Je le vois onduler, remuer son popotin sur la musique un mini strip tease

Il se tourne je vois son dos musclé, mon regard glisse vers ses hanches, puis sur ses fesses bien fermes, il descend son Jean’s, de façon a faire apparaître son boxer puis remonte le jean’s il me rend fou et il le sait très bien.

Il vient me rejoindre en boxer sur le lit, seul nos boxers nous empêchent de nous toucher totalement.

Je lui embrasse la mâchoire, je descends le long de son coup remonte vers l’oreille. Pile entre le creux du coup et la clavicule le lui fait un suçon, il se cambre…de là je redescends pour aller sur son torse, m’arrêtant quelques temps sur ses tétons, puis trace un sillon de baiser jusqu’à son boxer.

Je m’arrête pile à la limite du boxer, puis lui embrasse les cuisses, j’évite d’aller directement sur son pénis, je le fait languir.

Oh il vient d’éjaculer il est rouge.

-Ce n’est pas grave et puis la nuit n’est pas finie…

-Pervers !

-Peut-être mais tu aime sa !

Il se tut, sa seule réponse fut qu’il ramenât ma tête vers la sienne et m’embrassa à pleine bouche.

Puis me caressa à travers le tissu de mon boxer, puis passa en dessous, il me faisait un bien fou, il était doué de ses mains et doigts.

Je ne tardai pas à éjaculer sur sa main, il lécha ses doigts en me regardant droit dans les yeux pour toutes réponse, je viens l’emballer alors qu’il avait de mon sperme dans la bouche, il fut surprit.

Il rebander, le voulant pas le laisser ainsi je repris où j’en était 5 minutes plus tôt.

Puis approchant de son sexe je le pris en bouche, son goût si…si particulier, si personnel m’avais manquer c’est ainsi que goulûment je mis son pénis entier dans ma bouche, il gémissait, avec sa main qu’il avait posé sur sa tête il géré la cadence de mes vas et viens sur sa verge, de ma main libre je lui masser les testicules et de l’autre je me masturbais.

La cadence augmenter il n’allait pas tarder a éjaculer, j’arrêta de me masturber, pour lui titiller le tétons droit, le plus sensible de ses tétons.

Tout en hurlant son plaisir il se libérât.

Je lui pressentit un doigt qu’il ne tardât pas a humidifier comprenant très bien ce que je voulais faire.

Je lui inséras un doigt, puis deux, les remuants tant bien que mal alors que lui aussi remuer.

-Met la moi, j’en peux plus Nervin stp viens en moi.

Je retiras mes doigts lui lécha l’orifice, même si lui voulait que je vienne maintenant moi je voulais lui éviter la douleur.

Il se mit à quatre pattes, j’entras en lui avec le plus de douceur que possible, a peine que j’étais entré entièrement en lui qu’il bougeait, il n’avait pas eu de douleur, l’excitation doit sûrement être plus forte que la douleur.

J’alternais entre coup de rein puissant et coup de rein doux.

On hurlait de plaisir.

On continuât ainsi toute la soirée ne s’arrêtant qu’au petit matin je l’avais pris deux fois, lui aussi.

Sous la fatigue on s’était endormis dans les bras l’un de l’autre, lover bien au chaud.

On était bien, on était heureux ce soir là.

Notre amour avait été puissant.

Mar 21 aoû 2007 2 commentaires
Hummm très interessant ce lemon ^^
Dadoune - le 22/08/2007 à 01h24
J'ai enfin eu le temps de venir te lire ^^et je n'ai pas été déçut. un petit lemon pour la fin en plus :D. Merki Bisous
Lybertys - le 26/08/2007 à 01h33